La lettre
des Actionnaires

Résultats du deuxième trimestre 2024

Septembre 2024

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Projet d’acquisition d’AXA Investment Managers

© Vincent Fillon
Le 1er août dernier, BNP Paribas a annoncé l’entrée en négociations exclusives avec AXA en vue, d’une part, d’acquérir 100% d’AXA Investment Managers (AXA IM) représentant environ 850 Md€ d’actifs sous gestion et, d’autre part, de nouer un partenariat de long terme pour la gestion d’une large part de ses actifs.

BNP Paribas Cardif, le métier assurance du Groupe BNP Paribas, après avoir procédé directement et en propre à l’acquisition envisagée, pourrait déléguer à cette plateforme la gestion de ses actifs d’assurance et d’épargne à hauteur de 160 Md€.

Avec l’apport combiné des plateformes de gestion d’actifs du groupe BNP Paribas, le nouvel ensemble ainsi constitué représenterait 1 500 Md€ d’actifs sous gestion et compterait parmi les tout premiers leaders européens du secteur.

Plus particulièrement, il deviendrait le leader européen de la gestion d’épargne longue pour les assurances et les fonds de pension avec 850 Md€ d’actifs , en s’appuyant sur des plateformes puissantes de gestion d’actifs cotés et privés. Cette acquisition permettrait également au nouvel ensemble de bénéficier de la position de marché et de l’expertise de l’équipe dédiée aux actifs privés d’AXA IM, facteurs de croissance future auprès des clients institutionnels et particuliers.

Le prix convenu pour l’acquisition et la mise en place du partenariat est de 5,1 Md€ au closing, anticipé pour l’été 2025.

Avec un impact d’environ 25 pb sur le ratio CET1 du Groupe BNP Paribas et au terme du processus de rapprochement, le retour sur capital investi attendu de l’opération, dès la troisième année, serait supérieur à 18%.

L’opération envisagée est soumise au processus de consultation des instances représentatives du personnel des entités concernées, en vue d’un accord d’ici la fin de l’année. Le closing de l’opération est attendu à l’été 2025, dès lors que les autorisations des autorités compétentes auront été reçues.

« Ce projet positionnerait le Groupe BNP Paribas comme un acteur européen leader de la gestion d’actifs de long terme. Bénéficiant ainsi de la taille critique tant dans les actifs cotés que privés, il servirait d’autant plus efficacement ses clients assureurs, fonds de pension, réseaux bancaires et distributeurs. Le partenariat stratégique noué avec AXA, pierre angulaire de ce projet, confirmerait la capacité de nos deux groupes à unir leurs forces. »
Jean-Laurent Bonnafé, Administrateur, Directeur Général, BNP Paribas.

« La création, au sein du pôle Investment & Protection Services (IPS) du Groupe BNP Paribas, d’un leader européen de la gestion d’actifs en assurance et épargne à long terme, permettrait à IPS de dépasser le seuil de 2 000 milliards d’euros d’actifs confiés par ses clients. Cette opération offrirait à BNP Paribas Cardif l’opportunité de bénéficier d’un accès privilégié aux services d’un gestionnaire expert dans les classes d’actifs nécessaires à la gestion assurantielle.
La complémentarité des expertises des équipes de BNP Paribas Asset Management et d’AXA IM dans les actifs cotés et privés ainsi que leur leadership en matière d’investissement responsable seraient des atouts précieux pour mieux répondre demain aux besoins des clients. »

Renaud Dumora, Directeur Général Adjoint, Investment & Protection Services, BNP Paribas.

Entretien avec Pierre Fersztand, Global Head of Cash Management, Payments, Trade Solutions & Factoring, BNP Paribas

© Marcom BNP Paribas

Pouvez-vous nous présenter l’initiative Payments & Flow dans le plan stratégique du Groupe ?

Payments & Flow couvre un ensemble large de solutions portées par différents métiers :

  • le Trade Finance pour financer les opérations de commerce international (garanties ou les crédits documentaires),
  • les solutions de financement des besoins en fonds de roulement des entreprises, comme l’affacturage ou l’affacturage inversé,
  • le Cash Management, qui inclut toutes les opérations de paiement et d’encaissement ainsi que la gestion de la liquidité et les placements à court terme pour nos clients Entreprises,
  • les services aux marchands, avec notamment la gestion des solutions d’encaissement de leurs clients,
  • les paiements des particuliers.

 

Ces métiers contribuent de manière importante à la création de valeur du Groupe BNP Paribas : ils sont incontournables pour l’activité de nos clients et sont donc au cœur de nos relations pour l’ensemble de notre franchise, des grandes entreprises internationales aux PME, pour les particuliers et pour les professionnels. Ils nous apportent des commissions récurrentes, en lien avec le volume des transactions, et sont sources de dépôts granulaires.

Dans le cadre du plan stratégique 2025, BNP Paribas a ainsi lancé une initiative s’étendant à l’ensemble du Groupe pour accélérer le développement de ces métiers. L’objectif initial était de générer 600 M€ de revenus additionnels entre 2021 et 2025 sur ce périmètre. Grâce au dynamisme des équipes, cet objectif a été réalisé dès 2023, et le Groupe a ainsi annoncé une nouvelle cible de 800M€ de revenus additionnels, soit 200 M€ de plus que l’objectif initial !

Quel est le modèle développé par BNP Paribas dans les activités de Cash Management et des paiements ?

BNP Paribas est la seule banque internationale qui combine dans la même approche industrielle le Cash Management, les services d’encaissement aux marchands et les paiements des particuliers.

Le Groupe a fortement investi pour développer ses capacités industrielles dans le domaine des paiements. En 2023, ce sont ainsi plus de 10 milliards de transactions qui ont été réalisées sur nos plateformes. Concrètement, nous réalisons des paiements et encaissements partout dans le monde, tous les jours, pour des particuliers et des sociétés de toute taille.

Aujourd’hui, BNP Paribas est ainsi un acteur prépondérant sur ces segments en Europe : 1er ex aequo en termes de revenus en Transaction Banking pour les larges entreprises en EMEA, et 1er en termes de taux de pénétration en Cash Management et Trade Finance au sein des grandes entreprises en Europe.

BNP Paribas fait également partie des quelques banques à accélérer son développement dans le marché très évolutif des services proposés aux marchands, avec des capacités dans 25 pays en Europe et des ambitions de développement fortes.

Pouvez-vous nous parler du projet de partenariat stratégique dans les paiements annoncé avec le Groupe BPCE en juin dernier ?

BNP Paribas a toujours investi pour développer ses activités de paiement et s’adapter dans un environnement qui évolue très vite, porté par les nouvelles technologies, la digitalisation des paiements, la virtualisation de la carte bancaire et l’instantanéité des transactions.

Le projet de partenariat stratégique avec BPCE s’inscrit dans cette logique, en mutualisant nos moyens afin d’atteindre une taille critique à l’échelle européenne.

Le partenariat se traduira par la création, dans une société dédiée, d’une plateforme technologique commune intégrant les meilleurs standards de paiements. Cet outil permettra au Groupe de répondre aux attentes de notre clientèle tout en anticipant les évolutions de marché avec une innovation constante et en maintenant des standards de sécurité élevés.

Nous avons, avec cette plateforme commune, l’ambition d’atteindre le top 3 de cette activité en Europe, avec un volume estimé à 17 milliards de transactions au global à horizon 2029.

Quel est l’enjeu de l’European Payment Initiative dans laquelle le Groupe BNP Paribas est fortement impliqué ?

L’instantanéité des paiements est de plus en plus attendue. BNP Paribas s’est associée à 15 banques et industriels européens pour proposer à ses clients, via la société EPI (European Payment Initiative), un portefeuille de paiement instantané et digital disponible dans différents pays en Europe.

Ce portefeuille, nommé Wero, permettra dans un 1er temps de procéder à des paiements de particulier à particulier. A partir de 2025, les services de Wero s’enrichiront de nouvelles fonctionnalités, notamment la possibilité de payer à partir du portefeuille chez n’importe quel petit professionnel, mais aussi de payer en ligne sur les sites marchands et de gérer les paiements récurrents pour les abonnements. Le paiement en magasin sera également ajouté en 2026, ainsi que d’autres fonctionnalités, telles que Buy Now-Pay Later, l’intégration des cartes de fidélité des commerçants, le partage des frais, etc.

D’ici 2026, Wero sera un portefeuille unique offrant à chacun la possibilité de renforcer le contrôle de ses finances de manière simple, sécurisée et dans le respect total de ses besoins en matière de confidentialité des données et de conformité à la réglementation européenne, où qu’il se trouve en Europe. 

Wero a ainsi pour ambition de devenir la première solution de paiement pour les particuliers en Europe. Dans cet objectif, fort de l’engagement à long terme de ses actionnaires et compte tenu de la constante évolution caractérisant ce marché, EPI investira continuellement dans l’innovation.

Par ailleurs, cette initiative répond à un enjeu de souveraineté européenne, l’offre étant lancée en Allemagne depuis juillet dernier et en France depuis le 30 septembre, et est également développé aux Pays Bas, en Belgique et au Luxembourg, les 5 pays représentant 64% des volumes de transactions en Europe. Le service sera déployé dans d’autres pays au fil du temps.

Entretien avec Anne Pointet, Directrice de l’Engagement d’entreprise de BNP Paribas

© Antoine Doyen

Sur quoi repose la stratégie Engagement du Groupe BNP Paribas ?

La Direction de l’Engagement d’entreprise a été créée en 2017 par la Direction Générale pour accélérer, fédérer, diffuser et incarner l’action de BNP Paribas dans sa prise en compte des enjeux environnementaux et sociaux, notamment en faveur de la société civile.

Elle est ainsi au cœur de la transformation de l’entreprise, de ses compétences et de sa culture à l’échelle mondiale, facilitant l’appropriation par tous les métiers des enjeux liés au développement durable et la prise en compte dans ses décisions opérationnelles des critères liés entre autres au climat, à la biodiversité, à la lutte contre les inégalités.

Elle repose sur la conviction profonde que notre banque est au service du monde qui l’entoure et peut et doit l’accompagner à travers ses mutations ; cela implique à la fois la transition de nos clients vers des modèles plus durables et la transformation plus profonde de l’économie à travers l’émergence d’acteurs innovants, y compris ceux de l’économie sociale et solidaire.

Quels sont vos grands défis ?

Comme l’a indiqué en avril Laurence Pessez, directrice de la RSE, notre Groupe a fortement accéléré ses engagements sur la transition énergétique, avec un objectif de 90 % d’énergies bas-carbone dans son stock de crédits à la production d’énergie en 2030. Depuis et au-delà de l’énergie, le Groupe a poursuivi ses travaux ayant pour objectif l’alignement de ses flux financiers avec une économie neutre en carbone, en se fixant des objectifs en adéquation avec les scénarios scientifiques dans neuf des secteurs les plus émetteurs, dans le cadre de la Net Zero Banking Alliance. BNP Paribas mobilise pour cela d’importants moyens financiers (200 milliards d’euros spécifiquement dédiés à l’accompagnement de ses clients dans la transition vers une économie bas-carbone d’ici 2025), humains (des banquiers spécialisés, le Low Carbon Transition Group), techniques et méthodologiques. Ce travail est d’ailleurs de plus en plus reconnu par différentes parties prenantes qui comparent les efforts des différentes banques internationales, à l’image de la note A décernée par le Carbon Disclosure Project à BNP Paribas, seule grande banque à l’obtenir.

L’inclusion sociale est aussi un défi d’ampleur, pour lequel nous sommes historiquement engagés. Par notre métier de banquier d’abord, en proposant des produits et services d’inclusion financière, récompensés par le prix Euromoney de meilleure banque au monde pour l’inclusion financière en 2024, et en investissant dans des entreprises à impact social et local œuvrant en faveur de la mobilité là où l’offre de transports est insuffisante, l’accessibilité numérique pour les personnes en situation de handicap...

Par notre mécénat, aussi, incarné par notre Fondation qui fête cette année ses 40 ans. Grâce aux dons rendus possibles par notre rachat d’actions l’année dernière, nous avons pu renforcer notre mécénat tourné vers l’inclusion en France, mais aussi en Italie avec le lancement d’un pendant du Projet Banlieues, Progetto Inclucity, et au Portugal, avec la création d’une fondation sœur. Au-delà de nos actions philanthropiques, notre engagement a la particularité d’être très réactif aux différentes crises et évolutions de la société.

Quels autres enjeux voyez-vous prendre de l’ampleur ?

Pour n’en citer que deux : ceux de la transition juste et de la biodiversité.

La transition juste est le concept clé de faire la transition énergétique avec tous et d’empêcher celle-ci d’être source d’inégalités sociales. Nous avons copublié pour la seconde année un observatoire sur ce sujet afin d’appréhender les tensions qui pèsent sur les individus et les entreprises en Europe, et nos leviers d’action.

A la fin du mois, la biodiversité sera au centre de l’attention lors de la COP16 en Colombie. Les entreprises et institutions financières prennent davantage conscience de l’importance de mesurer la codépendance entre les activités économiques et la biodiversité. Il s’agit à la fois de protéger les écosystèmes vitaux, mais aussi d’assurer la résilience à long terme des économies et des communautés dépendantes de ces ressources naturelles. BNP Paribas est fortement engagé sur ce sujet, que ce soit à travers les partenariats noués avec des références mondiales telles que l’UICN et Naturalis, musée et centre de connaissances et de recherche, ou encore le financement des entreprises contribuant à protéger la biodiversité terrestre et marine, dont l’objectif de 4 milliards d’euros à fin 2025 est déjà dépassé, puisqu’il atteint 4,3 milliards d’euros fin 2023.

Entretien avec Isabelle Mateos y Lago, Cheffe Economiste de BNP Paribas

© Pierre-Olivier / BNP Paribas

Comment se porte l’économie mondiale à l’abord du dernier trimestre 2024 ?

Contrairement aux craintes initiales après la médecine de choc mise en œuvre par la plupart des banques centrales face à la fièvre inflationniste de 2022-2023, l’économie mondiale s’achemine vers l’atterrissage en douceur tant espéré. L’inflation est maintenant revenue dans le voisinage des objectifs, sans avoir à déplorer de récession ni de hausse significative du chômage. Ceci a permis aux principales banques centrales d’amorcer une décrue de leur taux directeurs qui devrait se poursuivre tout au long de l’année prochaine. Cette détente devrait soutenir l’activité. Pour autant, son rythme et son ampleur restent incertains, tout comme l’environnement géopolitique et l’orientation des politiques économiques à venir.

Quelles ont été les principales évolutions du trimestre passé dans les différentes régions ?

Aux Etats-Unis, l’inflation a ralenti durant l’été (elle est descendue à 2,5% sur un an en août) tandis que l'activité économique, jusqu’à il y a peu inscrite sur une pente à 2,5% par an, montrait des signes de modération tout comme le marché du travail. Ces développements ont conduit la Réserve Fédérale à réduire le loyer des fonds fédéraux qui passe de 5,50% à 5,00% (limite haute), moins par crainte d’une récession imminente que pour maintenir l’activité à son bon niveau.

En zone euro, l’activité a continué de progresser sur une pente modérée, proche de 1% par an, tirée par les services alors que l’industrie est en légère contraction. Il en résulte un contraste entre des économies du Sud (Espagne, Portugal, Grèce) toujours assez dynamiques et un Nord moins allant. L'Allemagne, proche de la stagnation, reste confrontée à des vents contraires (montée des barrières protectionnistes, en particulier dans le secteur automobile, affaiblissement de la demande chinoise). Avec 1,2% de croissance estimée pour 2024 et un troisième trimestre dopé par un effet « jeux olympiques », la France occupe une position médiane.

Sur les marchés émergents, la croissance s’est globalement maintenue à un bon rythme (proche de 4% par an), en dépit des difficultés persistantes de l’économie Chinoise, auxquelles viennent seulement de répondre les autorités chinoises avec un arsenal de mesures monétaires, financières et budgétaires dont l’impact reste à déterminer. Les échanges commerciaux se sont renforcés tandis qu’une grande majorité des devises ont rebondi face au dollar dans le courant de l’été.

Comment se présentent les perspectives pour 2025 dans ces mêmes régions ?

Le scénario central est partout assez favorable.

Aux Etats-Unis, l’économie devrait poursuivre son « atterrissage en douceur » (croissance anticipée à +1,9% en 2025) et l’inflation encore ralentir ; les conditions seraient donc réunies pour une baisse significative des taux d’intérêt (taux « Fed » anticipé à 3,25% fin 2025).

En zone euro, sauf nouveau choc sur le cours des matières premières, la désinflation devrait également se poursuivre et se rapprocher de l’objectif de 2%, voire s’installer au-dessous dans certains pays, comme la France. Ce scénario permettrait la poursuite de la baisse des taux d’intérêt entamée par la BCE – pour atteindre 2,25% fin 2025 selon nos estimations. Le regain de pouvoir d’achat dont bénéficient les ménages devrait soutenir leur consommation, pour peu que les taux d’épargne décrochent des sommets récemment atteints. L’assouplissement monétaire devrait aussi logiquement bénéficier à l’immobilier, resté faible en 2024, et à l’investissement des entreprises, qui a fléchi récemment, creusant l’écart avec les Etats-Unis. La croissance remonterait à +1,4% en 2025 (contre +0,8% en 2024).

Les marchés émergents devraient globalement profiter de la baisse des taux d’intérêt américains (modération de la charge de la dette en dollar, baisse des primes de risque, afflux d’investissements de portefeuille) et de la stabilisation de l’activité chinoise. La zone resterait donc sur un sentier de croissance proche de 4% par an, et dans l’hypothèse de tensions commerciales accrues entre les Etats-Unis et la Chine en 2025 pourrait bénéficier d’une re-direction des investissements directs chinois.

Et que dire des risques en présence ?

Dans toutes les régions il en existe, tant de persistance de l’inflation que d’activité plus faible que prévu. C’est pourquoi les banques centrales devront rester prudentes dans leur communication. Je développe ces thèmes plus avant dans un éditorial récent.

Rejoignez le Comité de Liaison des Actionnaires de la Banque

© Lionel Auguste

Le groupe BNP Paribas renouvelle son Comité de Liaison des Actionnaires. Le Comité de Liaison, composé de 12 actionnaires individuels (dont 2 membres du personnel) choisis pour leur représentativité tant géographique que socio-professionnelle, conseille et accompagne la Banque dans l’organisation et l’optimisation de sa communication à destination des investisseurs « personnes physiques » de BNP Paribas. Le Comité, présidé par Jean Lemierre, se réunit en général deux fois par an. Tout actionnaire peut faire acte de candidature, la désignation étant du ressort exclusif du Comité de sélection. Si vous êtes intéressé par ses travaux, merci de bien vouloir demander votre dossier de candidature à          « relations.actionnaires@bnpparibas.com » .

 

 

Votre nouvel interlocuteur Actionnaires individuels

Patrice Ménard
Antoine Labarsouque

Chers actionnaires,

Je profite de cette Lettre pour adresser mes remerciements les plus sincères à M. Patrice Ménard, à l’occasion de son départ en retraite.

Patrice est arrivé dans le Groupe BNP en 1982 ; après une riche carrière dans ce qui est devenu CPBS, il a rejoint en 1998 le département des Relations avec les Investisseurs où il a pris la responsabilité de l’organisation de l’Assemblée Générale du Groupe et est devenu chargé des relations avec les actionnaires individuels, les investisseurs souverains et les investisseurs ESG. Il était à ce titre rédacteur de votre Lettre.

Antoine Labarsouque prendra la suite de l’ensemble des responsabilités de Patrice à partir du 1er octobre, et deviendra donc votre point de contact privilégié pour toute question relative à l’actionnariat. Antoine est entré il y a 20 ans dans le Groupe ; il y a évolué à différents postes chez CIB, dans le département des Risques et dans le département Finance et Stratégie, au sein duquel il a notamment travaillé sur la cession de Bank of the West.

Je tiens à saluer l’engagement de Patrice auprès des actionnaires et à souhaiter bienvenue à Antoine dans ses nouvelles fonctions.

Bénédicte Thibord
Responsable du département Relations avec les Investisseurs et Information Financière

Nos services aux actionnaires

  • Recomposition des séries trimestrielles publiée le 29 février 2024. Résultats servant de base au calcul de la distribution en 2023 reflétant la performance intrinsèque du Groupe post impact de la cession de Bank of the West et post contribution à la constitution du Fonds de Résolution Unique (FRU) hors éléments extraordinaires.
  • 51 M€ comptabilisés pour 2024 au 2T24 ; 51&nbspM€ comptabilisés pour 2023 au 3T23 et 4T23.
  • Non réévalués.
  • Réévalué.
  • Intégrant 100% de la Banque Privée dans les banques commerciales (hors effets PEL/CEL en France).
  • Actifs liquides de marché ou éligibles en banques centrales (« counterbalancing capacity ») tenant compte des règles prudentielles, notamment américaines, diminués des besoins intra-journaliers des systèmes de paiement.
  • Calculé conformément au Règlement (UE) n°2019/876.
  • Recomposition des séries trimestrielles publiée le 29 février 2024. Résultats servant de base au calcul de la distribution en 2023 reflétant la performance intrinsèque du Groupe post impact de la cession de Bank of the West et post contribution à la constitution du Fonds de Résolution Unique (FRU) hors éléments extraordinaires.
  • La taxe DGS 2024 a été comptabilisée pour 51&nbspM€ au deuxième trimestre 2024 ; la taxe DGS pour 2023, d’un montant égal, a été comptabilisée aux troisième et quatrième trimestres 2023.
  • Bénéfice net par action calculé sur la base du résultat net du 2<sup>ème</sup> trimestre 2024 ajusté de la rémunération des TSSDI et du nombre moyen d’actions en circulation fin de période.
  • LLM : grand modèle de langage.
  • Progression des revenus du Groupe entre 2023 (distribuable) et 2024 moins progression des frais de gestion du Groupe entre 2023 (distribuable) et 2024.
  • Recomposition des séries trimestrielles publiée le 29 février 2024. Résultats servant de base au calcul de la distribution en 2023 reflétant la performance intrinsèque du Groupe post impact de la cession de Bank of the West et post contribution à la constitution du Fonds de Résolution Unique (FRU) hors éléments extraordinaires.
  • Charges relatives aux risques remettant en cause la validité ou la force exécutoire d’instruments financiers octroyés (provisions sur les prêts hypothécaires en Pologne).
  • A périmètre et change constants.
  • Intégrant 100% de la banque privée (hors effet PEL/CEL en France).
  • Émission des bons de l’Etat belge, couvertures inflation en France et non-rémunération des réserves obligatoires.
  • Intégrant 2/3 de la banque privée (hors effet PEL/CEL en France).
  • Y compris actifs distribués.
  • Sur la base d’analyses fondées sur les enquêtes SRD2 – Investisseurs institutionnels hors BlackRock et Amundi.
  • Selon déclaration par la SFPI datée du 10 juillet 2024.
  • Selon déclaration par Amundi datée du 7 mai 2024.
  • Selon déclaration par BlackRock datée du 27 juin 2024.
  • Sur la base des actifs au 31.12.2023.
  • Ces objectifs de revenus n’incluent pas la rémunération des dépôts du Cash Management.